De Santiago jusqu’au désert de l’Atacama, j’ai parcouru des milliers de kilomètres et rapporté des centaines de photos avec ce constat : cette partie du Chili ne peut se résumer simplement, tant sur le plan de la faune que sur celui de l’environnement.
L’idée m’est venue alors de « superposer » des images afin d’en faire ressortir les contrastes…
Bien que la « surimpression » soit possible directement à la prise de vue par une fonction du boîtier, j’ai dû, a posteriori donc, avoir recours à un logiciel adéquat de « fusion » avec la contrainte que je me suis imposée : ni retouches de couleurs ni recadrages, comme au déclenchement !
La recherche des photos-paires et les nombreux essais pour une bonne harmonie ont nécessité un travail important et minutieux.