Catherine Chesneau, « peintre du mirement », est sensible à l’éclat de la grâce manifestée dans la Création.
Du minuscule au démesuré, du banal à l’insolite, de la laideur au sublime… Entre réelle et virtuelle, l’image offerte tisse une stratification de sens.
L’artiste se sent complice de toutes les curiosités, de tous les étonnements perceptifs et c’est à ce monde étrange et incohérent qu’elle prête les couleurs raffinées des peintres maniéristes.